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Délarguage* des brebis au niveau de Saint-paul-et-valmalle avant le mesclage*.
Le premier chien blanc que l'on voit passer sur la gauche du cortège est un patou, chien de garde.
Remarquez les initiales ainsi que les peintures sur la toison des brebis, signature du propriétaire. Les deux brebis noires qui suivent le berger sont des parottes*, reconnaissables par leur pompon coloré. Les agneaux arrivent en dernier, déjà fatigués par le trajet depuis les Quatre pilas jusqu'à Saint-paul (environ 5km).
Mesclage au niveau de Saint-paul-et-valmalle.
De 700 brebis, on passe à 1200. Cette pratique permet de rassembler les troupeaux se dirigeant vers la même estive et ce, pour des raisons pratiques. Pour ne pas confondre les bêtes, les brebis sont marquées (sur leur toison) de la marque du propriétaire (même si ces derniers reconnaissent aisément leurs protégées d'un seul coup d'œil !)
Voici ci dessous une brebis qui rascle*.
Remarquer la façon avec laquelle elle arrache l'herbe, d'un coup sec de la nuque. Ceci pose parfois problème lorsque la brebis broute dans des zones rocailleuses, susceptibles d'abriter des serpents. Le mouvement brusque répétitif du museau sur la zone d'habitat du reptile (ignoré le plus souvent de la brebis) fini par provoquer l'attaque de ce dernier et la mort quasi instantanée de la brebis alors mordue au museau (partie très irriguée par le sang et donc très sensible au venin).
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Délarguage* des brebis au niveau de Saint-paul-et-valmalle avant le mesclage*.
Le premier chien blanc que l'on voit passer sur la gauche du cortège est un patou, chien de garde.
Remarquez les initiales ainsi que les peintures sur la toison des brebis, signature du propriétaire. Les deux brebis noires qui suivent le berger sont des parottes*, reconnaissables par leur pompon coloré. Les agneaux arrivent en dernier, déjà fatigués par le trajet depuis les Quatre pilas jusqu'à Saint-paul (environ 5km).
Mesclage au niveau de Saint-paul-et-valmalle.
De 700 brebis, on passe à 1200. Cette pratique permet de rassembler les troupeaux se dirigeant vers la même estive et ce, pour des raisons pratiques. Pour ne pas confondre les bêtes, les brebis sont marquées (sur leur toison) de la marque du propriétaire (même si ces derniers reconnaissent aisément leurs protégées d'un seul coup d'œil !)
Voici ci dessous une brebis qui rascle*.
Remarquer la façon avec laquelle elle arrache l'herbe, d'un coup sec de la nuque. Ceci pose parfois problème lorsque la brebis broute dans des zones rocailleuses, susceptibles d'abriter des serpents. Le mouvement brusque répétitif du museau sur la zone d'habitat du reptile (ignoré le plus souvent de la brebis) fini par provoquer l'attaque de ce dernier et la mort quasi instantanée de la brebis alors mordue au museau (partie très irriguée par le sang et donc très sensible au venin).
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